6.20.2006

Lago Titicaca

J´avais vu les berges peruviennes du Lac Titicaca, des iles, j´avais pu apercevoir au loin les sommets enneiges de la bolivie... deja j´avais trouve les paysages magnifiques... mais ce n;etait qu´une pale copie en comparaison a ce qui m´attendais du cote bolivien.

Des criques perdues, ou on ne rencontre personne... l´eau turquoise, l´immensite du lac... les montagnes... on ne sait plus trop ou regarder... et ce soleil qui reussi finalement a faire oublier le froid de la nuit!!!

Les gens... leurs sourires... leurs histoires... et ces rencontres qui nous font faire le tour du monde, l´espace d´une soiree, de part la provenance des differents convives... les differentes langues qui se melangent dans un dialecte ou tous finissent par y trouver leur compte.

Les bains de foules dans un amphitheatre bonde... la musique traditionnelle... les danseurs... les soirees a ecouter du jazz live dans des petits cafes... les bieres noires sur les plages... le soleil...



La catedrala de Copacabana
Mi en el cerro calvario, Copacabana
El lago Titicaca de Copacabana
Una cholita cerca del Lago
Isla del sol, ruinas el la parte norte
Isla del sol, Parte sur
Isla del sol, El puerto
Cerro Calvario, Copacabana












6.14.2006

El Gran Poder

Suite à une magnifique cuite, qui m’a valu un oubli partiel de mon intolérance aux substances lactosees (mon système me l,a, par contre, très rapidement rappelé, soyez sans crainte), un leve du corps des plus ardu, et une attente d’une bonne demi-heure de mes copains boliviens et ce malgré mon retard déjà important, on se retrouve, mêle à une foule immense impatiente de voir arriver les premiers danseurs…



Pour les incultes n’ayant aucune idée de ce que peut bien être le gran poder (et dont je faisais partie avant de me faire catapulter dans une estrade en plein soleil par un beau samedi d’hivers) et bien disons que c’est l’équivalent bolivien de la st Jean-Baptiste québécoise… avec un niveau de participants et de disponibilite d;alcool a un niveau plus qu;exponentiel



Des 11h (du matin), les gens se bagarrent pour avoir accès à une place dans les estrades de fortunes montées de chaque côte de la rue ou passera le grand défilé… pendant près de 12 heures, des groupes de danseurs paraderont, à travers la ville, les différentes cultures et coutumes de la Bolivie… des jeunes filles aux jupes absentes et aux costumes phosphorescents, aux élégantes cholitas, en passant par les différentes représentations de la mythologie bolivienne… C’est au son de plus d’une soixantaine d’orchestres que ceux-ci envahissent les rues….



Mais le spectacle n’est pas que dans la rue… En l’espace de qqs heures, les estrades elles-mêmes deviennent nid de danseurs emeches, de spectateurs euphoriques, de buveurs infatigables… ce pendant que les rues se remplissent de vendeurs de ballons d,hélium, de parapluies (!?!), de viande de lama seche, de crème solaire, de crème glacée et de liquides de tout acabit… se mélange alors l’odeur des kiosques de repas minutes, de barba papa, d’entre porte du mail st-roch, de bière, de pop corn et des innombrables fleurs portées par les danseurs…



N’ayant pas l’estomac très a sa place et étant bien mal placee pour refuser les nombreux verres offerts par nos copains, je quitte la place un peu avant que le soleil se couche… souper chez le patron oblige…Petite soirée bien agréable couronnée par ... roulements de tambours... une tarte aux fraises et a la rhubarbe faite maison!!! mais absence de glace a la vanille pour moi… J’ai bien assez payé ma dernière soirée!!!